Les couches superficielles des sols des plaines du Chélif (Algérie) présentent une stabilité structurale moyenne à médiocre. Il s’agit par ce travail d’estimer leur stabilité structurale par différentes méthodes en l’occurrence les méthodes de Hénin et al. (1958) d’Emerson (1967) et de Le Bissonnais (1988 1996) pour déterminer les sols les plus sensibles à la battance ainsi que les caractéristiques liées à cette sensibilité. Les résultats des deux premiers tests de Le Bissonnais et d’Emerson sont très corrélés entre eux et liés aux caractéristiques physico-chimiques des échantillons. Ces tests s’avèrent ainsi les mieux adaptés pour estimer la stabilité structurale dans ce type de milieu. La teneur en matière organique et la conductivité électrique des échantillons sont les facteurs principaux de leur stabilité structurale. Leur effet induit des différences importantes de stabilité structurale entre les parties haute moyenne et basse de la plaine du Chélif.
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